Examen DCG : bien se préparer

photo-examen-dcg

Sésame vers le métier d’expert-comptable, la formation DCG est validée par examen basé sur 13 UE (Unités d’Enseignement). Un effort personnel et régulier est de mise afin de se familiariser avec les épreuves et augmenter ses chances de réussite. Focus sur les préparations à l’examen DCG.

L’examen du DCG : en quoi consiste-t-il ?

Le DCG est un diplôme délivré au bout de 3 années de formation comptable structurée par 13 UE. Idéalement, un étudiant en DCG doit valider 4 UE chaque année, lors de la session d’examen de DCG organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur.

Pour obtenir le DCG, les candidats doivent avoir une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20 à toutes les épreuves du diplôme. Au besoin, il est possible de repasser l’examen au cours de la session de l’année suivante.

Les candidats participent uniquement aux épreuves pour lesquelles ils ont obtenu des notes inférieures à 6 sur 20. Il est à noter que les candidats conservent définitivement toute note supérieure ou égale à 10 sur 20 obtenue lors d’une session antérieure. Alors que la réinscription à une épreuve annule de manière automatique et définitive la note précédemment obtenue, le candidat peut demander à conserver les notes comprises entre 6 et 10 sur 20 obtenues lors d’une session antérieure.

Pour une session donnée, la moyenne générale est calculée en fonction des notes conservées et de celles nouvellement acquises.

Quant à l’épreuve facultative de langue vivante étrangère, seuls les points obtenus supérieurs à 10 sur 20 complètent le total des points afin de calculer la moyenne générale, à condition d’avoir réussi au moins 4 épreuves durant une ou plusieurs sessions.

À l’issue des corrections, les résultats du DCG sont publiés en ligne.

L’examen du DCG : les coefficients à prendre en compte

Le coefficient appliqué aux UE du DCG varie de 1 à 1,5. La majorité des matières techniques regroupant l’économie (UC 5), le management (UC 7), les systèmes d’information de gestion (UC 8) et le contrôle de gestion (UC 11) sont affectées à un coefficient 1,5.

Le coefficient DCG appliqué aux autres matières est de 1 : l’introduction au droit (UC 1), le droit des sociétés (UE 2), le droit social (UE 3), le droit fiscal (UC 4), la finance d’entreprise (UC 6), l’introduction à la comptabilité (UC 9), la comptabilité approfondie (UC 10), l’anglais des affaires (UC 12) et les relations professionnelles (UC 13).

L’examen du DCG : bien s’y préparer à distance ou en école

photo-examen-dcg1

Le choix de la méthode de formation est crucial pour bien se préparer aux examens. Diplôme d’État permettant d’intégrer rapidement le marché du travail, le DCG est accessible après le baccalauréat ou un diplôme de premier cycle en comptabilité.

Suivre sa formation dans une école comme l’ESG Finance garantit un encadrement optimal ainsi qu’un environnement de travail adéquat pour les étudiants qui envisagent de passer le DCG.

Avant d’obtenir la convocation au DCG, il faut d’abord s’y inscrire. En général, la période d’inscription au DCG s’étend de début janvier à fin février, et la démarche se fait par Internet.

Durant cette étape, il faut choisir les épreuves à passer. En effet, les titulaires d’un diplôme de premier cycle (DUT, BTS) avec une option comptabilité, peuvent signaler les UE déjà acquises lors de l’inscription pour bénéficier d’une dispense et se focaliser sur les épreuves non validées lors des sessions antérieures.

Pour mieux se préparer à cet examen de comptabilité, l’idéal est de réviser régulièrement les thèmes traités dans les cours. Ainsi, une partie de l’entrainement du candidat devra porter sur la méthodologie de résolution des situations pratiques et des études de cas, sans délaisser les questions de cours.

De ce fait, des révisions régulières et bien organisées, basées sur les fiches de synthèse des cours et les annales DCG, sont la clé pour se préparer correctement à l’examen du DCG. Néanmoins, les versions à jour des corrigés du DCG sont parfois difficiles à trouver : en cas de doute, le réflexe est de se référer aux cours, aux manuels et aux enseignants. Une vérification sur Internet s’effectuera obligatoirement via des sites fiables ou les sites institutionnels.

En fin d’année, il sera judicieux de simuler l’examen afin d’améliorer la gestion du temps et la capacité de concentration sur une longue durée. En effet, les étudiants devront traiter les sujets en une seule fois, dans le délai des épreuves.